La testostérone, la SHBG, l’ortie et le palmier de Scie
Écrit le 18 mars 2021
Naturellement, le monde du bodybuilding est sérieusement axé sur un discours et un mythe, celui des hormones androgènes et du taux de testostérone en particulier. Personne n’est assez simple d’esprit pour croire qu’il est possible d’atteindre des physiques aussi massifs et secs sans que la question du dopage ne puisse se poser. Professionnels, amateurs ou simples pratiquants de la musculation savent pertinemment que la testostérone joue un rôle majeur sur le gain de la force et de la masse musculaire. Évidemment, il ne s’agit pas de la seule à le faire mais elle doit d’abord être biodisponible, c’est à dire libre. Évidemment, cette hormone, la testostérone, est souvent considérée comme l’élément numéro un de la construction musculaire d’un physique…
Si d’autres facteurs entrent en compte lorsqu’il s’agit de l’hypertrophie des fibres du muscle squelettique, la recherche scientifique a mis à jour plusieurs mécanismes qui nous laissent penser que la testostérone est au centre de ce principe. Cette hormone intervient sur des processus complexes et multiples ; laissant croire, souvent par erreur, que rien n’est possible sans ce facteur hormonal. En effet, cet androgène joue un rôle important sur la croissance musculaire mais il n’est pas le seul. Cependant, le potentiel de stimulation sur le muscle exercé par cette hormone est important et vérifié par la recherche scientifique depuis bien des années.
La testostérone est une hormone liée à la croissance musculaire
La testostérone alimente tous les fantasmes chez le pratiquant lambda mais elle alimente aussi le marché de la nutrition sportive avec des promesses et des nutriments qui n’ont pas grand chose à voir avec la réalité biologique scientifiquement démontrée. Aujourd’hui, un nombre incalculable de “boosters” de testostérone sont présents sur le marché. A base le plus souvent de Tribulus terrestris, de Maca, de Ginseng ou d’autres végétaux sans lien direct avec le métabolisme de cette hormone, ces “boosters” ne reposent sur aucun constat scientifique sérieux. Ces compléments alimentaires mal formulés alimentent aussi les espoirs des pratiquants de la musculation avec les risques du dopage qui leurs sont liés. A vrai dire, ces formulations risquent surtout de vous faire perdre de l’argent au lieu de vous faire gagner plus de muscle. Le marché de la nutrition sportive contient vraiment de tout et n’importe quoi à ce sujet mais rien de très sérieux au final. Alors, hormis le fait de risquer de mettre sa santé en danger pour des clopinettes, existe t-il un moyen sain, légal et simple de favoriser la libération et le travail des androgènes comme la testostérone chez les pratiquants de musculation ?
Peut-on réellement bénéficier d’un taux de testostérone qui stimule la force et l’hypertrophie de manière saine et naturelle ?
Même si cela peut paraître difficile à croire si des athlètes pas si naturels qu’ils le prétendent passent du temps à vous affirmer le contraire, il est toujours possible d’obtenir un taux normal et sain de testostérone qui vous aide à gagner du muscle et de la force, sans avoir recours à des produits dopants et potentiellement dangereux. Il s’agit ici de comprendre que la quantité totale de testostérone n’est pas un indicateur suffisant quant à son efficacité. En effet, certaines protéines comme la SHBG (mis pour Sex Hormone Binding Globulline) se lient à la testostérone dans le sang pour la rendre inactive. A vrai dire, le taux de testostérone lié à cette protéine est de 98%. Cela veut dire que seul 2% de l’hormone est considérée comme active. Vous pourriez penser que 2% sur un total de 800ng/dl de testostérone importe plus que 2% sur 500ng/dl est vous auriez – partiellement – raison. En réalité, si le total de testostérone libre peut être augmentée, les deux facteurs biologiques (total et hormone libre) devraient, dans l’idéal être améliorés. Pour cela, il existe plusieurs solutions tout à fait naturelles.
Certaines substances végétales méconnues jouent sur le lien entre la testostérone et la SHBG
La testostérone est majoritairement liée à la SHBG mais nous savons que certaines substances végétales (et tout à fait légales) peuvent aussi se lier à la SHBG. Du coup, une partie de cette globuline ne pourra plus se lier à l’hormone et donc, le taux de testostérone libre pourrait augmenter. Les lignanes de l’ortie (Sécoisolaricirésinol) peuvent jouer ce rôle comme constaté par la recherche scientifique. Plus de testostérone libre et active signifie aussi plus de croissance musculaire à moyen termes.
Il est également probable que les lignanes de la racines d’ortie bloquent la conversion de la testostérone en œstradiol (17-bêta-œstradiol) comme l’indique la recherche scientifique actuelle. A cette fin, la racine d’ortie est généralement associée au Sabal, un végétal aussi connu sous le nom de Palmier de Scie ou Saw Palmetto en anglais. Le Palmier de scie renferme effectivement des composants végétaux dont le mécanisme d’action est proche de celui de l’ortie. En associant ces deux végétaux, l’inhibition de l’aromatisation (conversion) de la testostérone est recherchée. D’un point de vue général, il est assez intéressant de voir comment certaines plantes peuvent jouer positivement sur le taux de testostérone naturelle. Avec l’appui de la recherche scientifique, nous avons donc basé la formule de Virilis V2 sur ces deux végétaux. Nous avons ensuite ajouté de l’Ashwagandha sous brevet (KSM-66) pour ses effets de réduction du cortisol et d’augmentation de la testostérone qui ont également fait l’objet d’études scientifiques.
Magnésium, zinc et vitamine D complètent les apports nutritionnels indispensables à une libération saine de l’hormone mâle
Si l’association de trois végétaux reconnus pour leurs effets sur le métabolisme de la testostérone est un pas décisif en avant pour les athlètes qui nous font confiance, il est bien évident que votre organisme demande d’abord à recevoir les nutriments essentiels à son fonctionnement. Nous avons donc ajouté du magnésium bisglycinate à la formule de Virilis V2. Le magnésium contribue à de multiples fonctions organiques. Ce minéral essentiel est également responsable de l’activité antioxydante protégeant les gonades produisant les hormones androgènes, dont la testostérone. Le zinc est un oligoélément dont l’influence sur la libération de testostérone a été constatée. Des expériences scientifiques ont également mis en rapport le zinc avec le taux de testostérone libre dans l’organisme. Sur le plan scientifique, il est assez évident de dire que le magnésium et le zinc sont deux éléments essentiels aux pratiquants de la musculation qui veulent optimiser leur taux de testostérone naturelle.
Virilis V2 vous prouve que la testostérone naturelle et endogène est le meilleur allié de la musculation
Avec cette formule, Virilis V2 a été développé sur une synergie d’effets de chaque élément associé, pour que chaque athlète profite réellement d’un taux optimal de testostérone naturelle, biodisponible et efficace. YAM Nutrition vous propose désormais non pas un booster mais un complément qui potentialise les effets de vos entraînements de musculation. Vous en obtiendrez de nombreuses conséquences positives sur l’organisme, en fonction d’une libération saine de l’hormone mâle. En effet, Virilis V2 se base sur ce que nous apporte la recherche scientifique, sans Tribulus terrestris et autres fantaisies sans intérêt, à part celui de vous faire perdre de l’argent. Évidemment, il ne s’agit pas d’un produit dopant mais les effets positifs vont s’accumuler avec le temps, comme toute bonne formule devrait le faire. Nous espérons surtout que notre complément vous aidera à stimuler la croissance musculaire naturellement, comme les autres produits naturels de la gamme YAM Nutrition.
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